Notre agent à Syracuse, autrement dit notre honorable correspondant sicilien, nous écrit :
« Chers membres de L’Attirail, vous aviez omis de me prévenir que votre nouvel opus qui sortira en décembre prochain s’immerge dans l’univers de l’espionnage.
Grâce à l’internationale sicilienne (sans aucun lien avec d’autres réseaux peu recommandables issus de la même île) dont fait partie votre graphiste Mr Bruno Pia (originaire des Pouilles mais sicilianophile), j’ai été mis facilement dans la confidence. Je connaitrai probablement la future pochette de cet album avant vous mais naturellement je ne saurai divulguer cette information. C’est uniquement l’amour de la musique qui me fait vous livrer gracieusement quelques tuyaux depuis tant d’années. N’oubliez pas de me tenir informé de la suite de vos péripéties.
Votre dévoué. »
(Syracuse, 01XI86)
« En espérant que ses renseignements soient plus fiables que ceux de notre agent à la Havane qui fit passer les plans d’un aspirateur pour ceux d’une installation militaire. »
