Notre honorable correspondant du Beauvaisis, O. M., vient de reprendre contact avec nous : « Bonjour L’Attirail. Très bien intégré depuis de nombreuses années dans les milieux culturels locaux, je ferai comme d’habitude la promotion de votre nouvel album, et bien sûr sans que cela puisse être suspecté de favoritisme. Nul à ce jour ne peut se douter des liens qui nous unissent. Longue vie à ce nouvel opus qu’il me tarde de découvrir. Portez-vous bien les amis ».
(Beauvais, 17VI89)
« Bien s’insérer dans une vie fictive à l’étranger peut permettre une existence plutôt agréable, malgré les risques inhérents à la condition d’espion. »